lundi 27 novembre 2017

BD - L'OPERATION COPPERHEAD

Mélangez David Niven, Peter Ustinov, Winston Churchill, vous obtiendrez Opération Copperhead. Une drôle d'aventure authentique romancée et croquée avec dextérité par Jean Harambat.


L'histoire :

Octobre 1977. Tournage du film Mort sur Le Nil, qui sortira sur les écrans en 1978. Hercule Poirot (Peter Ustinov) partage un cocktail avec le colonel Race (David Niven). John Guillermin, le réalisateur, satisfait de la scène jouée par les deux acteurs, lance le fameux : « Coupez ! ». 
Les deux amis prennent une collation bien méritée sous le soleil de plomb égyptien et observent la caractérielle Bette Davis qui se plaint de son thé. Mais au fait, depuis quand sont-ils amis ? Depuis Copperhead…
Gare de Londres, 1943. Un dénommé Karlinski est poursuivi par la police britannique. Il parvient à leur échapper, laissant derrière lui un parapluie cachant un message codé de chiffres. 
Pendant ce temps, dans un cinéma, David Niven, revenu d’Hollywood, harangue des spectatrices dans le cadre d’une campagne de recrutement de volontaires pour l’armée féminine : le Women’s Royal Army Corps. 
Alors qu’il se repose dans sa loge, Dudley Clarke l’appelle pour lui communiquer une demande de Churchill. David Niven doit préparer un film de propagande pour l’armée. Pendant ce temps, Peter Ustinov s’entraîne pour l’armée britannique. 
De la bouche de son major, il apprend sa demande d’affectation au service cinématographique des armées. Les deux hommes ne savent pas encore qu’on va leur faire une proposition des plus bizarres, pour une opération baptisée « Copperhead »...

Notre avis :

L'intro indique : « Dans les pages qui suivent, tout n’est pas entièrement vrai, mais tout n’est pas entièrement faux ». 
En s’inspirant librement des biographies de David Niven, de Peter Ustinov et de Clinton James, Jean Harambat nous embarque dans une authentique aventure d’OVNI digne d’un film d’espionnage en mode burlesque, avec une pointe d’humour so british. 
Cette opération, qui marque le début d’une longue et durable amitié entre les deux acteurs, est longtemps restée comme un épisode méconnu de la seconde guerre mondiale. 
Si loin, mais aussi, si proche du cinéma hollywoodien, leur mission est simple mais ardue : coacher un sosie du Général Montgomery pour duper l’ennemi allemand, en faisant croire à l’imminence d’un débarquement via l’Afrique du Nord. 
Au-delà de la narration enlevée et pleine de fantaisie, l’auteur d’Ulysse : les chants du retour joue la carte de l’originalité dans la forme. 
Il entrecoupe son récit dessiné de lettres, de citations ou de documents originaux. 
Cet effet stylistique donne un rythme soutenu à l’histoire. Cette dynamique se retrouve dans le wording avec des jeux de mots élégants : « Je ne parlerai qu’en présence de ma vodka, Les Brahms m’en tombent… ». 
Son trait tout en finesse agrémenté de couleurs douces éclaire les textes en lui donnant une dimension non-sensique. 
Un bel album qui comptera dans la jeune carrière du jeune auteur natif du Sud-Ouest.

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Auteurs : Jean HARAMBAT (scénario & Dessin)
Éditeur : Dupuis
Collection : Aire libre
Thème : Guerre
Public : ado / adulte
Prix :     Euros
Parution : 29 septembre 2017

mercredi 20 septembre 2017

ACTUALITE - Des armes de la Seconde Guerre mondiale retrouvées dans une habitation vers Quarré-les-Tombes


En faisant des travaux chez eux, un couple a trouvé des armes et des munitions qui, pensent-ils, ont appartenu à un résistant de la Seconde Guerre mondiale.


Au mois de juillet 2017, un couple qui réside à quelques kilomètres de Quarré-les-Tombes fait faire des travaux dans leur habitation, qui impliquent de changer la charpente.

En effectuant ces travaux, des ouvriers tombent sur une cache, sous des ardoises, à l'intérieur de laquelle se trouvent plusieurs armes : trois pistolets mitrailleurs anglais Sten, trois pistolets, "une bonne quinzaine" de grenades, et "plus de mille" munitions, explique la femme du couple qui a entrepris ces travaux et qui souhaite conserver l'anonymat, de crainte que des personnes viennent importuner la maisonnée, du fait de cette découverte.
Deux des Sten sont gravés, un au nom de « Pepette » et un autre au nom « d'Alice ».

Pour l'habitante, il n'y a pas de doute : ces armes ont appartenu à un résistant de la Seconde Guerre mondiale, dont elle n'a pas souhaité dévoiler le nom. Cette conviction est partagée par une responsable du musée de la Résistance en Morvan. Le couple a décidé de faire don de cette trouvaille à ce musée situé à Saint-Brisson (Nièvre). "Ce qui nous importait", dit-elle, c'était "de faire honneur à la mémoire du résistant qui a vécu là".

"On sait que c'était chez un ancien résistant", assure Aurore Callewaert, responsable du musée de la Résistance en Morvan. Ce dernier devrait, espère-t-elle, exposer ces armes au printemps 2018, une fois l'arsenal démilitarisé.

L'opération de démilitarisation, qui a pour objectif de rendre l'arsenal inutilisable, est à la charge du musée, explique Aurore Callewaert. L'établissement a créé une cagnotte participative en ligne pour financer la démilitarisation et les coûts pour rendre possible l'exposition du matériel trouvé. Près de 1.000 euros avaient été récoltés mercredi après-midi. 


"Là quand même, on est plongé dans l'histoire", lance Aurore Callewaert, se remémorant la journée au cours de laquelle cette découverte a été faite.


Légende : Les premiers volontaires du maquis Vauban, 4 février 1944. De gauche à droite : Lucien Charlot “Popaul”, Armand Simonnot “Théo”, André Roguier “Max”, René Macé “François” (c) musée de la Résistance en Morvan

D'après la responsable du musée de la résistance en Morvan, le résistant qui habitait le logement où les armes et les munitions ont été retrouvées faisait partie du maquis Vauban. "C'était un maquis qui venait de Côte-d'Or" et qui s'est réfugié dans le Morvan entre décembre 1943 et février 1944. Initialement composé de douze personnes, le maquis Vauban finit par regrouper environ six-cent personnes, affirme la responsable du musée.

vendredi 25 août 2017

25 et 26/08/1944 - LA LIBERATION DE THIERS PAR LES FFI



La libération de la ville de Thiers


Les FFI locaux apprennent dans la nuit du 23 au 24 août que la garnison allemande se prépare au départ. En effet, les 400 hommes du 18e bataillon de grenadiers SS de la Panzer Division "Horst Wessel" sont encore dans la ville attendant un ordre de départ de Vichy.
Le 25 août au matin, des combats ont éclaté entre résistants et soldats allemands au Moutier. Le pilote d’un véhicule léger allemand passant à proximité des Français est abattu sur le champ.
Le 103e bataillon FTP met en place une colonne rapide à partir des trois compagnies aux ordres du capitaine Bonnet soit 32 hommes du maquis du Grand Cognet et 90 résistants des groupes sédentaires de la ville également FTPF auxquels se sont ajoutés quelques patriotes FFI-MUR au sein du CFL (Corps Franc de Libération). L’heure est à l’insurrection.
Un groupe de combattants tente de rejoindre le centre ville où se trouvent les forces ennemies.
Il passe par le quartier de la Vidalie afin d’éviter des tirs venant de l’école Saint-Joseph où sont installés une quarantaine de SS. Les camions allemands prêts à partir sont stationnés rue des Grammonts, rue Nationale et rue Pasteur. Lesrésistants s’ils veulent libérer la ville doivent neutraliser les centres névralgiques de l’occupant dont la mairie et l’école Saint-Joseph utilisée comme dépôt de munitions.
Assez rapidement, les officiers allemands demandent une trêve afin d’évacuer leurs nombreux blessés vers Vichy. Le président de la commission spéciale de Thiers, le lieutenant-colonel Brasset nommé en remplacement d’Antonin Chastel, sert d’intermédiaire entre les SS et les commandants Pigeon
(FTPF) et Victoire (FFI-MUR) ainsi qu’avec le Capitaine Bonnet. Les Allemands demandent quatre heures pour se retirer. Les résistants refusent, acceptant seulement de cesser les combats en ville, afin de protéger les civils. Un drame survient ensuite, 3 hommes, Claude Goutequillet, Charles Hainchelin et Antoine Calmard tombent sous les balles allemandes. Puis c’est au tour d’André Ossedat de trouver la mort alors qu’il sort d’un bâtiment occupé par l’armée allemande en brandissant un drapeau blanc et que le président de la commission spéciale venait de faire sonner la sirène du cessez-le-feu. Les soldats
allemands retranchés à l’école Saint-Joseph se sont rendus entre temps. Les combats pour la libération de la ville font une dernière victime le 26 août 1944 alors que l’évacuation commence : Pierre Bernardi, âgé de 18 ans.
Le 26 août au soir, Thiers est définitivement libérée.

vendredi 14 juillet 2017

14/07/2017 - IL Y A 100 ANS LES AMERICAINS DEBARQUAIENT EN FRANCE

Des soldats américains participent au défilé du 14 Juillet pour marquer le centenaire de l'entrée des États-Unis dans la Grande Guerre.


En effet, l'été 1917, un corps expéditionnaire américain débarque en France pour venir aider les Alliés (France, Angleterre, Belgique, Italie, Russie pour les principaux) a contrer les forces des Empires Centraux (Empire d'Allemagne, Empire Austro-Hongrois, Finlande, Turquie, pour les principaux).

«La Fayette, nous voilà!» Le 4 juillet 1917, lorsque le lieutenant-colonel Stanton lance sa célèbre apostrophe au cimetière de Picpus, devant la tombe du héros français de la guerre d'Indépendance, le corps expéditionnaire américain n'est encore composé que de quelques milliers d'hommes. Une goutte d'eau dans la mer des combattants des tranchées. Pourtant, le cours de la Première Guerre mondiale vient de changer.


Convaincre l'Amérique d'entrer dans le conflit n'a pas été facile. Depuis 1914, les diplomates et les généraux alliés ont multiplié les missions. Souvent en vain. Principaux créanciers de la France et de la Grande-Bretagne, les Etats-Unis encouragent la victoire de l'Entente, mais refusent de s'engager militairement, même si des volontaires américains se battent déjà sur le sol français. Engagés dans la Légion étrangère, comme le poète Alan Seeger, au sein de l'escadrille La Fayette, tel Norman Prince, ou dans des formations sanitaires de l'American Red Cross, ils sont souvent en première ligne, mais demeurent peu nombreux.
Tout change le 19 mars 1917. L'Allemagne, qui multiplie les provocations, décrète à nouveau la «guerre sous-marine à outrance» et coule le bâtiment américain Viligentia. Tuant tous les américains à son bord. C'est le navire de trop.
Le 6 avril 1917, le Congrès, exaspéré, vote la guerre par 373 voix contre 50. Mais le pays manque cruellement de soldats. Les Etats-Unis disposent en effet d'une armée de métier peu nombreuse et très mal équipée, dont les seules expériences de combat ont été acquises contre les Indiens, les rebelles philippins, les Espagnols de Cuba ou les Mexicains de Pancho Villa...
En France, l'annonce de l'entrée en guerre des Américains, même symbolique, n'en est pas moins un soulagement. La chute du tsarisme, le réveil des tensions sociales et la fin de l'Union sacrée, l'échec sanglant du chemin des Dames et les mutineries ont miné profondément le moral des troupes. L'armée française est saignée à blanc, les Anglais sont à genoux.
Très vite, les Américains s'organisent. Le vote de la conscription permet de porter les effectifs de 200.000 à 4 millions de soldats. L'arrivée en fanfare, le 13 juin 1917, des 177 Américains du général John Pershing, enflamme la population. Cow-boys, Indiens et Noirs fascinent les foules qui se passionnent pour les nouveaux venus. Puis le contingent ne cesse d'augmenter. En moins de dix-huit mois, plus de 2 millions d'hommes, des tonnes de matériels, de munitions, d'armes et de ravitaillement transitent par Saint-Nazaire.
D'avril à août 1918, les forces américaines rejoignent peu à peu le front puis sont engagées dans des actions décisives. Les «Sammies» combattent à Château-Thierry, à Saint-Mihiel, au bois de Belleau, dans la Meuse, en Argonne. Les lignes allemandes sont enfoncées et l'armistice du 11 novembre 1918 stoppe l'avancée du corps expéditionnaire en pleine progression. 
Mais les Américains ont payé le prix fort. En moins d'un an, 116 516 d'entre eux ont été tués et 204 000 blessés.




BD : DIEN BIEN PHU - COLLECTION "LA GRANDE EVASION"


Dans la collection "LA GRANDE EVASION" de chez DELCOURT, une histoire sur la trame de Dien Bien Phu et des unités qui se sont "évadées" de la chute inéluctable du camp retranché submergé par les troupes communistes vietminh.


Sous la plume de Thierry GLORIS et dessinée par Erwann LE SAEC, cette histoire rend bien hommage aux combattants de Dien Bien Phu.

Loin d'une reconstitution historique avec des personnages connus, nous suivont des personnages issus des différentes ethnies que formait le contingent à cette époque. Des Français, des anciens soldats allemands au sein de la légion, des africains et des marocains des troupes d'Afrique et enfin les troupes vietnamiennes qui se battaient contre les forces communistes.

Méllant adroitement faits historiques et histoire romancée, le lecteur est prit par cette histoire, de telle sorte que je n'ai lâché la BD qu'une fois l'histoire terminée.

Une belle représentation des évènements de DIEN BIEN PHU, fort bien dessinée.



Egalement disponible dans la même collection : BIRIBI, le tome 1 sur le bagne militaire en Afrique du Nord. A suivre...


DIEN BIEN PHU
Collection LA GRANDE EVASION
Editions DELCOURT
Sortie :Avril 2013
63 pages



On aime fort !

dimanche 4 juin 2017

INDOCHINE 4 JUIN 1954 : ANEANTISSEMENT DU GM 100


Constitué autour du bataillon de Corée transféré à Saigon au mois d’octobre 1953, le groupe mobile n°100 (GM100) est une force interarmes de 3500 hommes, engagée dans le nettoyage de la région des hauts-plateaux du Centre Annam, en marge de l'opération Atlante. 

Alors que la bataille de Dien Bien Phu est terminée, amoindri par une succession d'embuscades depuis le 1er février 1954, le GM 100 est pratiquement anéanti entre le 24 et le 28 juin 1954 lors de l'évacuation d'An Khé par une gigantesque embuscade Vietminh sur la RC19, perdant la moitié de son effectif et la totalité de son matériel.

vendredi 17 mars 2017

HOMMAGE : PLUS DE 100 ANS APRES SA MORT, UN POILU DU PUY DE DOME REPOSERA AUPRES DES SIENS



Le 17 mars, un hommage va être rendu à Gabriel Aymard, un poilu tombé au combat lors de la bataille de la Somme en 1916, et dont la dépouille a été découverte l’été dernier.


En effet, en juillet 2016, un chantier réalisé sur la commune de Chilly, dans la Somme, avait permis la découverte des restes d’un squelette à proximité duquel reposait une médaille d’identité militaire : celle du soldat Gabriel Aymard, né à Pont-du-Château le 29 février 1888. 

S'en est suivie une mobilisation à Pont-du-Château pour rendre hommage à cet homme dont la famille vit toujours dans la commune.

Le bon état de conservation du corps a facilité l’identification. "Il a été retrouvé recroquevillé avec son matricule, mais le thorax était perforé de trous. Ce qui avait interpellé la mairesse de Chilly, c’était son crâne, surtout ses dents bien alignées et bien blanches" raconte sa petite-nièce Martine.



Gabriel Aymard est mort à 28 ans et il n’a pas eu d’enfants, mais il a eu un demi-frère et une demi-sœur. Et contrairement aux autres cérémonies, c’est une famille heureuse qui se réunira vendredi 17 mars 2017 à Pont-du-Château pour son inhumation auprès des siens. "On doit se retrouver à une cinquantaine d’invités, neveux, petits-neveux et arrières-petits-neveux… toute la famille, on est très fiers de la présence du Premier Ministre. C’est un très grand honneur assez exceptionnel même dans une telle circonstance" dit Pierre Aymard, son neveu.



Car si la présence annoncée du Premier Ministre Bernard Cazeneuve à cette cérémonie est assez inattendue, ce sera un moment fort estime le maire de la commune René Vinzio : " ça donne un caractère solennel à cette cérémonie et un poilu mérite bien la venue d’un Premier Ministre". La cérémonie d'inhumation aura lieu après l'hommage officiel, Gabriel Aymard dont le décès n'était signalé que par une simple plaque aura enfin une sépulture.

vendredi 10 février 2017

CRITIQUE DE FILM : TU NE TUERAS POINT


Quand la Seconde Guerre mondiale a éclaté, Desmond, un jeune américain, s’est retrouvé confronté à un dilemme : comme n’importe lequel de ses compatriotes, il voulait servir son pays, mais la violence était incompatible avec ses croyances et ses principes moraux. Il s’opposait ne serait-ce qu’à tenir une arme et refusait d’autant plus de tuer. Il s’engagea tout de même dans l’infanterie comme médecin. Son refus d’infléchir ses convictions lui valut d’être rudement mené par ses camarades et sa hiérarchie, mais c’est armé de sa seule foi qu’il est entré dans l’enfer de la guerre pour en devenir l’un des plus grands héros. Lors de la bataille d’Okinawa sur l’imprenable falaise de Maeda, il a réussi à sauver des dizaines de vies seul sous le feu de l’ennemi, ramenant en sureté, du champ de bataille, un à un les soldats blessés.

Mel GIBSON (L'arme fatale, Nous étions soldats,etc) réalise ici un grand film de guerre réaliste pour ses scènes d'actions à couper le souffle et avec un scénario qui tient la route, puisqu'il est basé sur une histoire réelle de ce soldat qui refusait de se servir une arme mais voulait servir son pays.

On reste en haleine jusqu'au dernières minutes. En comparaison, la célèbre séquence d'intro époustouflante du débarquement en Normandie de "Il faut sauver le soldat Ryan" passe pour un court-métrage !

jeudi 5 janvier 2017

LIVRE : LE VOLUME 2 DES FUSAINS DE LA GRANDE GUERRE DE LUCIEN JONAS

Jean-Paul FONTANON, auteur et historien spécialisé sur la Grande Guerre, nous propose un nouvel ouvrage sur le travail du peintre Lucien JONAS effectué durant la Première Guerre Mondiale.
Ce peintre fut en quelque sorte un reporter de guerre qui avec ses fusains croquait la des portraits des soldats belligérants du conflit, et là les paysages et citées ravagés par les combats.



Travail acharné depuis de nombreuses années, il a rassemblé la plus grande partie de l'oeuvre du peintre durant la guerre.

Ce second  tome achève ce travail et couvre la période de juillet 1917 à la fin 1918.

Le premier tome est déjà disponible.

Volume 2 contenant plus de 420 fusains dont certains colorés.
Format 16 x 24 à la française
386 pages
Version en N&B au prix de 25 Euros TTC
Version en Couleurs au prix de 35 Euros TTC
Port postal 6.5 Euros pour un livre commandé mais gratuit pour la commande de 2 livres ou plus...


Pour en savoir plus sur l'auteur et ses livres ou pour commander ce livre voir son blog




dimanche 1 janvier 2017

MEILLEURS VOEUX 2017 A TOUS LES WEBLECTEURS


AMP vous souhaite ses meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2017.





En 2017, nous verrons :


Le centenaire de l’entrée en guerre aux côtés de la « Triple-Entente » (France, Royaume-Uni et Russie) de la Grande Guerre, en avril, de l’American Expeditionary Force commandé par le Gral PERSHING.


Les habituelles cérémonies du souvenir et commémorations avec de plus en plus de figuration réaliste grâce aux groupes de collectionneurs-reconstituteurs en costumes de toutes époques qui excellent dans le détail. Nous vous présenterons à chaque fois ces groupes et leurs membres passionnés.



De nombreux ouvrages et films ayant pour sujet l’histoire viendront nourrir notre connaissance, nous vous en parlerons avec nos critiques objectives.



Nous continuons également le travail de recensement et collecte des noms sur les monuments aux morts et plaques commémoratives de tous les conflits. Vous pouvez les consulter sur notre site dédié